La demande croissante de processus numériques dans les entreprises et les organisations a accru le besoin d’informations sur la signature des documents et les différents types de signatures électroniques disponibles. Dans cet article, nous expliquons l’importance de la légalité dans la signature des documents, les différents types de signatures et leurs caractéristiques, les implications juridiques et la signature la plus adaptée à chaque situation.
La signature d’un document est une procédure essentielle pour garantir son authenticité et sa validité juridique, car elle permet d’identifier le signataire et d’éviter l’altération de ce qui a été convenu par écrit. Bien entendu, dans de nombreux pays, il existe des lois et des règlements qui établissent les conditions nécessaires pour qu’une signature soit juridiquement valable. Ces règles peuvent varier en fonction du type de document et de la juridiction dans laquelle il se trouve.
Les signatures électroniques, telles que les signatures numériques et les signatures avancées, ont un cadre juridique spécifique qui varie en fonction de la juridiction dans laquelle elles sont utilisées. C’est important de s’assurer que toutes les exigences légales sont respectées pour que la signature électronique soit valide et contraignante.
En France, les signatures électroniques ont gagné en importance ces dernières années, et c’est pourquoi il existe une législation qui les réglemente et les valide. Ainsi, un document numérique comportant une signature électronique se voit conférer une validité qui peut être utilisée comme preuve devant toute autorité légalement reconnue.
Cette législation définit ce qui est reconnu comme une signature électronique, ainsi que les certificats, le sceau numérique et d’autres éléments qui confèrent une validité à tout document émis sous forme numérique. Selon la loi sur la signature électronique avancée, celle-ci sera reconnue et aura le même effet qu’une signature manuscrite. De sorte que le signataire sera soumis aux conséquences du non-respect de l’accord dans tout type de document électronique qui en est doté.
Aujourd’hui, c’est facile de basculer dans l’univers de la signature électronique en profitant des services offerts par des prestataires comme Docoon. Ce dernier met à la disposition des professionnels son outil Docoon.sign qui :
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Actuellement, grâce à la technologie, il existe différents types de signatures électroniques qui permettent de signer des documents numériques de manière efficace et sûre. Nous indiquons ci-dessous les principaux types de signatures qui existent et qui permettent de valider un document numérique.
Il s’agit d’une des variantes existantes et d’une signature électronique délivrée au moyen d’un certificat émis par un système cryptographique ou une clé publique. Le détenteur de cette signature dispose ainsi des clés nécessaires, qui lui ont été attribuées par un prestataire de services de certification ou une entité qui les délivre.
De cette manière, la personne qui signe un document peut être liée et l’authenticité de la signature est validée. La signature peut également faire l’objet d’autres validations qui lui confèrent une plus grande validité.
Il existe une variante appelée signature numérisée, qui est tracée avec le doigt sur l’écran d’une tablette ou d’un Smartphone. Elle peut également être obtenue en scannant ou en prenant une photo de la signature manuscrite. Cette signature est juridiquement contraignante, mais sa validité peut être remise en question, car elle est facile à falsifier.
Il s’agit d’une signature électronique qui respecte les exigences établies par la loi pour garantir sa validité juridique. Pour ce faire, on utilise un certificat numérique qui associe l’identité du signataire à la signature électronique.
La différence avec ce qui précède est que le certificat doit être délivré par une organisation légale qui suit les règles légales de la localité ou du pays dans lequel se trouve la signature électronique avancée et que ce certificat est endossé par un prestataire de services de certification.
Comme indiqué plus haut, il existe en France un cadre juridique et la personne autorisée à délivrer ce type de signature doit être accréditée par le ministère de l’Économie, ceci la rend juridiquement contraignante.
Elle est souvent confondue avec la signature électronique, car elle est censée être utilisée comme synonyme, mais il ne s’agit pas de la même chose. La signature numérique est composée de deux séquences de caractères distinctes, caractéristiques que la forme électronique ne possède pas. La signature numérique est un algorithme utilisé pour authentifier la validité de la version virtuelle d’une signature manuscrite. Contrairement à la signature électronique avancée, qui dispose d’un support beaucoup plus robuste tel que le cryptage des informations qui valide l’authenticité du signataire, ce qui la rend plus sûre.
Cette signature est très proche d’un notaire virtuel, car elle permet une plus grande rapidité dans les procédures qui nécessitent la validation d’un notaire. De sorte qu’elle peut être utilisée dans des documents tels que :
Il s’agit d’une signature qui vous permettra d’accélérer les procédures sans avoir à vous rendre dans un bureau de notaire, car tout peut être fait avec la validité requise en ligne.