La technologie numérique peut simplifier notre vie quotidienne, mais nous sommes aussi de plus en plus conscients de son impact négatif sur l’environnement et les émissions de gaz à effet de serre. L’utilisation des technologies numériques représente 3 à 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et ce chiffre augmentera dans les années à venir.
La responsabilité numérique vise à optimiser l’empreinte sociale et environnementale des technologies numériques. Elle inclut l’informatique verte pour réduire l’empreinte environnementale du département informatique. Voici quelques mesures écologiques simples pour les applications quotidiennes :
Privilégier une connexion WiFi et désactiver les fonctions GPS et Bluetooth des téléphones et tablettes, plutôt que le réseau 4G qui consomme 24 fois plus d’énergie que le Wi-Fi.
Outre ce petit geste, il convient également de sensibiliser et de former ses équipes à la sensibilisation au numérique responsable. Cette démarche ne dure que 30 mn environ, mais peut modifier les habitudes de chacun au bureau et à la maison. Rendez-vous sur streamlike.fr pour obtenir plus de détails sur la formation et la sensibilisation numérique responsable.
Sachant qu’une recherche sur Google génère l’équivalent de 7 tonnes de CO2 et qu’un internaute effectue en moyenne 134 recherches par mois, cela signifie que nous sommes dans une situation où nous devons faire plus attention à nos données :
Pourquoi ne pas choisir un moteur de recherche durable ? Ils équilibrent leur impact en reversant une partie de leurs revenus à des projets sociaux et environnementaux.
Nous avons l’habitude de communiquer avec nos collègues et nos clients par courrier électronique, mais peut-être pas de la manière la plus écologique qui soit.
Voici quelques recommandations :
On n’y pense pas quand on parle de responsabilité numérique, mais elle en fait partie intégrante. Et cela vous rendra beaucoup plus serein et efficace dans votre travail. Oubliez l’excuse du « je garde ce message, au cas où », car ces e-mails sont gardés dans des « datacenters » qui conservent tout ce que vous mettez dans le nuage ! Pour remédier à ce problème, la marche à suivre est simple :
Surtout quand on sait que 1,4 milliard de courriers électriques sont envoyés chaque jour sur le territoire français et que ce chiffre s’élève à 295 milliards de messages dans le monde.